3 questions à Hélène Damis, architecte d’intérieur MH DECO à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Si sa reconversion était un film, son titre serait « Métamorph’ose » ! Architecte d’intérieur MH DECO à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, au cœur de la Provence verte, Hélène Damis est de celles qui suivent leur instinct, peu importe les réticences de leur entourage. Tel fut le cas au moment de se lancer en franchise. Beaucoup aurait jeté l’éponge, mais pas Hélène ! Elle a bien eu raison…
Quel a été votre parcours avant de rejoindre MHDECO ?
J’ai travaillé pendant 15 ans dans la communication, à Paris puis à Aix-en-Provence. C’est un univers aussi passionnant qu’exigeant. Au fil des années, mon goût pour le métier s’est toutefois émoussé. A l’aube de la quarantaine, Il était temps de relever un nouveau challenge ! Passionnée par la décoration et l’architecture d’intérieure depuis toujours, pourquoi ne pas réaliser ce rêve d’enfant ? Plus facile à dire qu’à faire ! On se met des barrières, on hésite, on a peur… Finalement, j’ai franchi le pas. Et là, ce fut magique ! Toutes les planètes se sont alignées… J’ai repris mes études, fais des stages, rencontré des entrepreneurs passionnants et découvert un mode d’activité prometteur : la franchise !
Pourquoi avoir opté pour la franchise en général et MHDECO en particulier ?
Je savais que je ne voulais pas démarrer toute seule. Tombée presque par hasard sur un webinar, j’ai alors découvert MH DECO. Avant même de suivre ma formation, je signais mon contrat ! Bref, j’avais osé ! Mon choix ne faisait pourtant pas l’unanimité dans mon entourage. Qu’importe j’étais certaine de mon choix ! J’allais exercer un nouveau métier passion, dans un contexte où je serai encadrée, rassurée avec et par d’autres entrepreneurs en proie aux mêmes problématiques. Il y a tellement de choses à gérer quand on se lance à son compte : la compta, la com, la prospection, les projets, les partenaires… MHDECO était la bonne formule !
Comment fonctionne votre activité depuis son démarrage ?
J’ai eu la chance de démarrer très vite, un peu trop même ! Un très gros projet de rénovation de maison m’a mis dans le bain sans attendre. Ayant démarré en tant qu’autoentrepreneur, j’ai rapidement basculé en société. Depuis deux ans que j’ai commencé :ma nouvelle vie d’architecte d’intérieur, je n’ai aucun regret ! Je suis pleinement épanouie dans mon métier. Bien sûr, je ne compte pas mes heures et je sais que la route est encore longue. Mais je sais aussi que je suis bien entourée et que la franchise m’aidera à lever les barrières. Et puis quelle satisfaction de voir ses clients heureux ! Il y en a mêmes qui m’offrent des cadeaux, c’est pas beau ça ?!